« Brandscaping », ou mettre en scène la marque comme s’il s’agissait d’un paysage, est le buzzword du point de vente.
En analogie à une promenade bucolique, le point de vente propose de réelles immersions dans l’univers des marques. La PLV y contribue en étant un support sensoriel : visuels grand format, matériaux au toucher poudré, volumes hyperréalistes, intégration d’effets de lumière, de sons, de 3D.
Dans un contexte où la marque doit se renouveler continuellement pour captiver ses clients, la PLV, éphémère par essence, facilite l’éclosion spontanée de mini-espaces évènementiels ; rapidité de montage, simplicité de transport, modularité sont un atout.
La PLV doit aujourd’hui prendre en compte les facteurs écologiques et éthiques, requis pas les annonceurs, bien qu’invisibles pour les consommateurs. Alors que les matières premières deviennent rares, jeter sans revaloriser n’est plus soutenable. A l’image de la nature qui produit à profusion, mais toujours utilement, la PLV gagnerait à s’inscrire dans un cercle vertueux et le mettre en scène.
pour en savoir plus, rendez-vous sur le salon MPV le 28 mars 17h
www.mpv-paris.com