Alors que les chiffres annoncent qu’un « gamer » sur deux est une gameuse, et que la moyenne d’âge se situe vers 33 ans, la visite du Paris Games Week reste largement sur des stéréotypes du « geek ». Ce dimanche matin le public est jeune (plutôt 20 ans) et à 90% masculin. Donc très peu de femmes – peut-être à cause de la finale de rugby?
3 grands thèmes parcourent les allées: la guerre, le sport (extrême) et la danse façon dancefloor. De façon transversale, l’immersion et le conformisme. Les jeux améliorent le réalisme, la réalité augmentée est encore plus intuitive, notamment à travers la Kinect de Microsoft. Cette dernière, déjà sur le marché depuis 1 an, reconnait grâce à des capteurs le corps du joueur, y réagit et l’incorpore dans le jeu, la séance de sport ou sur le dancefloor. Objectif: reproduire le plus fidèlement les mouvements proposés ! Dommage que ces jeux n’encouragent pas la singularité ou la créativité. Mais j’ai dû regarder au mauvais endroit ! merci de me soumettre vos vives protestations